STREET BANGKOK
Cuisine asiatique
en 2 ans
personnel
d’entrée
STREET BANGKOK
Cuisine asiatique
en 2 ans
personnel
d'entrée
À propos du Groupe
Paroles de franchisés
Ils l’ont fait, et ils en parlent ! Découvrez les témoignages de nos franchisés qui partagent leur expérience, leurs réussites et les raisons pour lesquelles ils ont choisi notre enseigne. Leurs parcours sont autant de preuves concrètes de la solidité de notre accompagnement et de la réussite possible au sein de notre réseau.
« La chaîne Street Bangkok a choisi Inpulse il y a plusieurs mois pour optimiser son foodcost et améliorer la gestion opérationnelle de ses 8 restaurants. Matthieu Monzat, Revenue Director et Modou Lo, Contrôleur de gestion nous expliquent comment Inpulse leur a permis de mieux maîtriser leurs coûts et de limiter l’impact de l’inflation sur le coût matière. Inpulse nous permet de réagir instantanément, on a maîtrisé notre coût matière malgré d’énormes hausses de prix d’achat, notamment sur les produits provenant d’Asie." Malgré une année très instable, Street Bangkok finit l’exercice 2022 avec 15 millions de CA et l’ambition pour 2023 d’ouvrir un food court à Alesia, 2 franchises et 10 restaurants virtuels dans la petite couronne. Matthieu Monzat et Modou Lo reviennent sur leur utilisation d'Inpulse dans un contexte d'inflation tendu : Maîtriser le food cost malgré l’inflation “Les viandes c’est le point le plus critique. Les produits frais aussi, avec l’inflation, le coût de transport a été multiplié par 3, ça se répercute sur le prix des matières premières pour tous nos produits qui viennent d’Asie du Sud-Est.” Modou Lo, Contrôleur de gestion chez Street Bangkok “Je pense que certains restaurateurs ont dû perdre 2 ou 3 points à cause de l’inflation ou alors ils ont fortement augmenté leurs prix. Sans Inpulse, notre marge aurait surement été fortement impactée, on a réussi à maintenir notre coût matière et réduire les effets de l’inflation. C’est en grande partie grâce au pilotage de notre carte avec une vision réelle des coûts. Avant on avait un foodcost général, aujourd’hui on a un food cost par marque et par restaurant. On peut ainsi prendre des décisions spécifiques pour cibler les actions. C’est aussi grâce à l’optimisation de nos achats et de nos commandes. Les managers ont monté en compétence, grâce aux prévisions, ils passent les bonnes commandes fournisseurs. Ils font plus régulièrement les inventaires, on a réussi à intégrer de nouvelles routines qui nous donnent des informations terrain fiables : on fait un inventaire complet 1 fois par mois et un inventaire quotidien sur le top 10 des produits nécessaires à la cuisine centrale. On a vraiment une meilleure gestion opérationnelle. En tant que Revenue Director, j’ai enfin accès à des données centralisées. Cela nous permet de prendre des décisions rapides sans attendre.” Matthieu Monzat, Revenue Director chez Street Bangkok “On a une meilleure lecture des pertes, tout est centralisé, idem pour les inventaires. On a enfin la réalité terrain car les managers ont adopté l’outil qui est très simple d’utilisation. Toutes ces données remontées par le terrain nous ont permis d’améliorer nos processus opérationnels. Nous travaillons sur des produits frais avec des DLC courtes. Quand on voit un écart entre le theorique et le réel, on peut descendre à la catégorie restaurant ou recette pour identifier les pertes de marge. Nous avons notamment repéré des problématiques de conditionnement entre la cuisine centrale et nos restaurants auxquelles nous avons pu remédier rapidement et qui ont réduit drastiquement les pertes.” Modou Lo, Contrôleur de gestion chez Street Bangkok Simplifier la gestion opérationnelle et gagner du temps “Inpulse nous a permis au siège de travailler sur le même logiciel. L’outil a deux facettes : d’une part la gestion des commandes, des stocks et des pertes, d’autre part, la partie forecast de ventes par produit, l’accès au coût matière réel par recette. Avant nous attendions plus d’un mois pour confronter le coût matière théorique que j’avais défini au moment de la conception des recettes avec le coût matière réel que Modou me remontait après avoir rassemblé les données terrain. Le temps de sortir les datas, de se réunir et mettre les actions en place, on avait peu de réactivité. Avec l’augmentation du coût des matières premières, je dois rapidement décider : Doit-on augmenter le prix, modifier la recette ou la changer pour garantir la rentabilité ? Aujourd’hui à n’importe quel moment on peut voir l’évolution du ratio, je calcule automatiquement le coût matière réel sur Inpulse, j’ai accès à toutes les données en temps réel. J’ai divisé par 3 le temps passé à faire du menu engineering grâce à Inpulse. ” Matthieu Monzat, Revenue Director chez Street Bangkok “L’inflation c’est aussi de nombreuses mises à jour des mercuriales. Avant je mettais une journée et demi pour mettre à jour les mercuriales, avec Inpulse en 3h maximum je mets à jour tous les fournisseurs. Je gagne énormément de temps et je gère mieux mes relations avec les fournisseurs car j’ai facilement accès aux informations. Je passais aussi énormément de temps à faire du reporting de pertes, à analyser les prix et les inventaires. Avec Inpulse, ça se calcule automatiquement, c’est très bien fait. Je gagne facilement 40h par mois.“ Modou Lo, Contrôleur de gestion chez Street Bangkok Si vous souhaitez profiter d'une démonstration d'Inpulse, demandez dès aujourd’hui un rendez-vous avec un expert pour découvrir tout ce qu’Inpulse peut faire pour vous. »
« 𝗢𝗡 𝗔 𝗥𝗔𝗠𝗘𝗡𝗘́ 𝗟𝗔 𝗖𝗢𝗨𝗣𝗘 𝗔 𝗟𝗔 𝗠𝗔𝗜𝗦𝗢𝗡 Ce week-end, STREET Bangkok a remporté le prix du 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗙𝗿𝗶𝗲𝗱 𝗖𝗵𝗶𝗰𝗸𝗲𝗻 𝗕𝘂𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗣𝗮𝗻𝗮𝗺𝗲. 👑 On vous raconte : Tout ça s'est passé à la télé, dans l'émission 𝗧𝗿𝗲̀𝘀 𝗧𝗿𝗲̀𝘀 𝗕𝗼𝗻, sur Paris Première, au milieu d'autres pointures de la street food Parisienne. En compétition : le burger de Mosugo par l'incroyable Mory Sacko, le burger pépite de 𝗗𝗼𝗴𝗺𝗮, et notre désormais légendaire Fried Chicken Burger qui remettait son titre en jeu. Les juges : Mina et Hirmane experts de la street food. Résultat ? Pour une rentrée, on a été gâté : 𝘂𝗻𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟭𝟳,𝟱/𝟮𝟬 synonyme de 1ère place ! Quelle émotion 🥹 Alors voilà, on voulait simplement dire un grand merci à toute l'équipe de Très Très Bon, ça nous fait chaud au coeur. Allez on se refait le replay de l'émission juste pour le kiff et ... on retourne à notre poulet frit ! »
« Après avoir vécu en Asie dans les années 2000-2010, Norman Kolton a décidé de lancer son propre restaurant. C'était en 2015. Sa spécialité ? La cuisine thaï. Voilà pourquoi il a baptisé son établissement STREET Bangkok Il s'installe dans le quartier du canal Saint-Martin à Paris, et l'établissement fait vite salle comble. Tellement que trois ans plus tard, Norman Kolton ouvre un, puis deux, puis trois restaurants sur le même modèle, toujours dans la capitale française. Depuis quelques années, Street Bangkok a développé, d'abord à Paris, plusieurs concepts autour de la street food thaï : les roast clubs, comme à Pigalle, qui proposent des viandes rôties (canard, poulet, porc...), les thaï markets avec une cuisine un peu plus mijotée, dont les fameux currys, que l'on retrouve dans les rues en Thaïlande, et les fry temple avec ses fritures, de poulet bien entendu. Si jusqu'à présent, chaque restaurant avait sa spécialité, son identité, à Levallois, l'enseigne, installée non loin de la pâtissière Claire Heitzler, pour la première fois, propose deux concepts réunis en un seul lieu : le market et le fry temple. Street Bangkok vient de renouveler l’opération cette fois dans le quartier Alésia à Paris. Concept très abouti et en même temps très décalé, ce qui fait son charme. Fort développement prévu, puisque Street Bangkok prévoit de sortir de Paris et se lancer dans la franchise. A suivre…. »
« Pour conserver une qualité de mets maximale mais aussi faciliter la vie de ses futurs franchisés, l’enseigne de restauration spécialisée dans la cuisine asiatique du Sud-Est, a déployé un laboratoire culinaire central. Les explications de Norman Kolton, fondateur du réseau. Quel est le créneau de la franchise Street Bangkok ? N.K : Créé en 2015, notre groupe est spécialisé dans la cuisine asiatique du Sud-Est avec un fort accent sur la Thaïlande. Nous proposons des woks, des plats mijotés, des grillades et du poulet grillé. A ce jour, nos 8 restaurants succursalistes implantés en région parisienne emploient 120 personnes au total et génèrent 15 millions de chiffre d’affaires. Comment envisagez-vous de vous développer dans les mois à venir ? N.K : D’ici fin 2023, nous allons ouvrir deux restaurants en franchise et trois autres en 2024. Notre cible ? Des emplacements de centre-ville au cœur de grandes métropoles urbaines comme Toulouse, Rennes, Rouen, Lyon… D’ici trois ou quatre ans, nous visons 40 restaurants maximum car notre cuisine centrale ne pourrait pas produire davantage sans dégrader la qualité. A ce propos, quelle est justement la spécificité de votre modèle économique ? N.K : Notre modèle repose effectivement sur une production culinaire dans une cuisine centrale. Nous avons ainsi ouvert un laboratoire culinaire de 1200 m2 à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Sur place, 30 collaborateurs assurent toutes les tâches de mise en place, de fabrication, des bouillons, sauces et autres opérations de base afin de laisser aux restaurateurs, le soin d’opérer une cuisine d’assemblage et d’envoi optimisée. Seuls les légumes frais sont découpés au quotidien dans les restaurants. Au total, nous avons des dizaines de références de viandes marinées et sauces préparées à base de produits frais, majoritairement issus de circuits courts et français. Elles sont mises sous vide avec des DLC de deux semaines à un mois. Chaque sachet, estampillé d’un QR code, est ensuite stocké avant d’être dispatché au quotidien dans nos établissements. En quoi est-ce un plus pour vos futurs franchisés ? N.K : En général, on constate que plus un réseau se développe, plus l’enseigne simplifie ses recettes. Or, nous ne souhaitons pas faire de compromis sur la qualité. La cuisine asiatique demande beaucoup de savoir-faire et de temps de préparation, c’est incompressible. En centralisant la réalisation des recettes, nous garantissons une qualité optimale des plats à nos franchisés. On simplifie donc de fait la gestion opérationnelle de leur site. Cette organisation leur permet également de mieux maîtriser leurs coûts. Enfin, cela facilite le recrutement de leur personnel car la qualification de ce dernier n’a pas besoin d’être aussi élevée que s’ils devaient cuisiner tous les plats de A à Z. Des profils d’aides cuisiniers et commis sont parfaitement appropriés. Comme dans les chaînes de fast food, ces jobs peuvent tout à fait convenir à des étudiants. Quel profil de franchisés recherchez-vous ? N.K : Nous sommes un jeune groupe, donc les candidats à la franchise doivent soit avoir une expérience dans la restauration ou comme franchisé, voire multi franchisé. Pour lancer un établissement Street Bangkok, il faut compter huit salariés au minimum dès le départ. Quatre par service : deux personnes en cuisine, une en salle et un manager. Les futurs franchisés suivront une formation initiale sur l’hygiène, la gestion des commandes, les outils digitaux, le management… Pour apprendre les bases de nos produits et recettes et l’hygiène, les cuisiniers de nos succursales et donc bientôt de nos franchisés, passeront quatre jours par notre centre culinaire de formation doté des mêmes équipements que dans nos restaurants. Quel investissement doivent-ils prévoir pour rejoindre le réseau Street Bangkok ? N.K : Hors fonds de commerce, il faut compter entre 250 000 et 400 000 euros en fonction de l’état et de la taille du local (ndlr : mini 120 m2). Même si nous sommes davantage sur une cuisine d’assemblage et d’envoi que de production, le matériel de cuisson et de cuisine doit être de qualité. Les droits d’entrée s’élèvent à 35 000 euros, et la redevance à 6% du chiffre d’affaires et 1% pour la communication. »
« La chaîne Street Bangkok a choisi Inpulse il y a plusieurs mois pour optimiser son foodcost et améliorer la gestion opérationnelle de ses 8 restaurants. Matthieu Monzat, Revenue Director et Modou Lo, Contrôleur de gestion nous expliquent comment Inpulse leur a permis de mieux maîtriser leurs coûts et de limiter l’impact de l’inflation sur le coût matière. Inpulse nous permet de réagir instantanément, on a maîtrisé notre coût matière malgré d’énormes hausses de prix d’achat, notamment sur les produits provenant d’Asie." Malgré une année très instable, Street Bangkok finit l’exercice 2022 avec 15 millions de CA et l’ambition pour 2023 d’ouvrir un food court à Alesia, 2 franchises et 10 restaurants virtuels dans la petite couronne. Matthieu Monzat et Modou Lo reviennent sur leur utilisation d'Inpulse dans un contexte d'inflation tendu : Maîtriser le food cost malgré l’inflation “Les viandes c’est le point le plus critique. Les produits frais aussi, avec l’inflation, le coût de transport a été multiplié par 3, ça se répercute sur le prix des matières premières pour tous nos produits qui viennent d’Asie du Sud-Est.” Modou Lo, Contrôleur de gestion chez Street Bangkok “Je pense que certains restaurateurs ont dû perdre 2 ou 3 points à cause de l’inflation ou alors ils ont fortement augmenté leurs prix. Sans Inpulse, notre marge aurait surement été fortement impactée, on a réussi à maintenir notre coût matière et réduire les effets de l’inflation. C’est en grande partie grâce au pilotage de notre carte avec une vision réelle des coûts. Avant on avait un foodcost général, aujourd’hui on a un food cost par marque et par restaurant. On peut ainsi prendre des décisions spécifiques pour cibler les actions. C’est aussi grâce à l’optimisation de nos achats et de nos commandes. Les managers ont monté en compétence, grâce aux prévisions, ils passent les bonnes commandes fournisseurs. Ils font plus régulièrement les inventaires, on a réussi à intégrer de nouvelles routines qui nous donnent des informations terrain fiables : on fait un inventaire complet 1 fois par mois et un inventaire quotidien sur le top 10 des produits nécessaires à la cuisine centrale. On a vraiment une meilleure gestion opérationnelle. En tant que Revenue Director, j’ai enfin accès à des données centralisées. Cela nous permet de prendre des décisions rapides sans attendre.” Matthieu Monzat, Revenue Director chez Street Bangkok “On a une meilleure lecture des pertes, tout est centralisé, idem pour les inventaires. On a enfin la réalité terrain car les managers ont adopté l’outil qui est très simple d’utilisation. Toutes ces données remontées par le terrain nous ont permis d’améliorer nos processus opérationnels. Nous travaillons sur des produits frais avec des DLC courtes. Quand on voit un écart entre le theorique et le réel, on peut descendre à la catégorie restaurant ou recette pour identifier les pertes de marge. Nous avons notamment repéré des problématiques de conditionnement entre la cuisine centrale et nos restaurants auxquelles nous avons pu remédier rapidement et qui ont réduit drastiquement les pertes.” Modou Lo, Contrôleur de gestion chez Street Bangkok Simplifier la gestion opérationnelle et gagner du temps “Inpulse nous a permis au siège de travailler sur le même logiciel. L’outil a deux facettes : d’une part la gestion des commandes, des stocks et des pertes, d’autre part, la partie forecast de ventes par produit, l’accès au coût matière réel par recette. Avant nous attendions plus d’un mois pour confronter le coût matière théorique que j’avais défini au moment de la conception des recettes avec le coût matière réel que Modou me remontait après avoir rassemblé les données terrain. Le temps de sortir les datas, de se réunir et mettre les actions en place, on avait peu de réactivité. Avec l’augmentation du coût des matières premières, je dois rapidement décider : Doit-on augmenter le prix, modifier la recette ou la changer pour garantir la rentabilité ? Aujourd’hui à n’importe quel moment on peut voir l’évolution du ratio, je calcule automatiquement le coût matière réel sur Inpulse, j’ai accès à toutes les données en temps réel. J’ai divisé par 3 le temps passé à faire du menu engineering grâce à Inpulse. ” Matthieu Monzat, Revenue Director chez Street Bangkok “L’inflation c’est aussi de nombreuses mises à jour des mercuriales. Avant je mettais une journée et demi pour mettre à jour les mercuriales, avec Inpulse en 3h maximum je mets à jour tous les fournisseurs. Je gagne énormément de temps et je gère mieux mes relations avec les fournisseurs car j’ai facilement accès aux informations. Je passais aussi énormément de temps à faire du reporting de pertes, à analyser les prix et les inventaires. Avec Inpulse, ça se calcule automatiquement, c’est très bien fait. Je gagne facilement 40h par mois.“ Modou Lo, Contrôleur de gestion chez Street Bangkok Si vous souhaitez profiter d'une démonstration d'Inpulse, demandez dès aujourd’hui un rendez-vous avec un expert pour découvrir tout ce qu’Inpulse peut faire pour vous. »
« 𝗢𝗡 𝗔 𝗥𝗔𝗠𝗘𝗡𝗘́ 𝗟𝗔 𝗖𝗢𝗨𝗣𝗘 𝗔 𝗟𝗔 𝗠𝗔𝗜𝗦𝗢𝗡 Ce week-end, STREET Bangkok a remporté le prix du 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗙𝗿𝗶𝗲𝗱 𝗖𝗵𝗶𝗰𝗸𝗲𝗻 𝗕𝘂𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗣𝗮𝗻𝗮𝗺𝗲. 👑 On vous raconte : Tout ça s'est passé à la télé, dans l'émission 𝗧𝗿𝗲̀𝘀 𝗧𝗿𝗲̀𝘀 𝗕𝗼𝗻, sur Paris Première, au milieu d'autres pointures de la street food Parisienne. En compétition : le burger de Mosugo par l'incroyable Mory Sacko, le burger pépite de 𝗗𝗼𝗴𝗺𝗮, et notre désormais légendaire Fried Chicken Burger qui remettait son titre en jeu. Les juges : Mina et Hirmane experts de la street food. Résultat ? Pour une rentrée, on a été gâté : 𝘂𝗻𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝟭𝟳,𝟱/𝟮𝟬 synonyme de 1ère place ! Quelle émotion 🥹 Alors voilà, on voulait simplement dire un grand merci à toute l'équipe de Très Très Bon, ça nous fait chaud au coeur. Allez on se refait le replay de l'émission juste pour le kiff et ... on retourne à notre poulet frit ! »
« Après avoir vécu en Asie dans les années 2000-2010, Norman Kolton a décidé de lancer son propre restaurant. C'était en 2015. Sa spécialité ? La cuisine thaï. Voilà pourquoi il a baptisé son établissement STREET Bangkok Il s'installe dans le quartier du canal Saint-Martin à Paris, et l'établissement fait vite salle comble. Tellement que trois ans plus tard, Norman Kolton ouvre un, puis deux, puis trois restaurants sur le même modèle, toujours dans la capitale française. Depuis quelques années, Street Bangkok a développé, d'abord à Paris, plusieurs concepts autour de la street food thaï : les roast clubs, comme à Pigalle, qui proposent des viandes rôties (canard, poulet, porc...), les thaï markets avec une cuisine un peu plus mijotée, dont les fameux currys, que l'on retrouve dans les rues en Thaïlande, et les fry temple avec ses fritures, de poulet bien entendu. Si jusqu'à présent, chaque restaurant avait sa spécialité, son identité, à Levallois, l'enseigne, installée non loin de la pâtissière Claire Heitzler, pour la première fois, propose deux concepts réunis en un seul lieu : le market et le fry temple. Street Bangkok vient de renouveler l’opération cette fois dans le quartier Alésia à Paris. Concept très abouti et en même temps très décalé, ce qui fait son charme. Fort développement prévu, puisque Street Bangkok prévoit de sortir de Paris et se lancer dans la franchise. A suivre…. »
« Pour conserver une qualité de mets maximale mais aussi faciliter la vie de ses futurs franchisés, l’enseigne de restauration spécialisée dans la cuisine asiatique du Sud-Est, a déployé un laboratoire culinaire central. Les explications de Norman Kolton, fondateur du réseau. Quel est le créneau de la franchise Street Bangkok ? N.K : Créé en 2015, notre groupe est spécialisé dans la cuisine asiatique du Sud-Est avec un fort accent sur la Thaïlande. Nous proposons des woks, des plats mijotés, des grillades et du poulet grillé. A ce jour, nos 8 restaurants succursalistes implantés en région parisienne emploient 120 personnes au total et génèrent 15 millions de chiffre d’affaires. Comment envisagez-vous de vous développer dans les mois à venir ? N.K : D’ici fin 2023, nous allons ouvrir deux restaurants en franchise et trois autres en 2024. Notre cible ? Des emplacements de centre-ville au cœur de grandes métropoles urbaines comme Toulouse, Rennes, Rouen, Lyon… D’ici trois ou quatre ans, nous visons 40 restaurants maximum car notre cuisine centrale ne pourrait pas produire davantage sans dégrader la qualité. A ce propos, quelle est justement la spécificité de votre modèle économique ? N.K : Notre modèle repose effectivement sur une production culinaire dans une cuisine centrale. Nous avons ainsi ouvert un laboratoire culinaire de 1200 m2 à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Sur place, 30 collaborateurs assurent toutes les tâches de mise en place, de fabrication, des bouillons, sauces et autres opérations de base afin de laisser aux restaurateurs, le soin d’opérer une cuisine d’assemblage et d’envoi optimisée. Seuls les légumes frais sont découpés au quotidien dans les restaurants. Au total, nous avons des dizaines de références de viandes marinées et sauces préparées à base de produits frais, majoritairement issus de circuits courts et français. Elles sont mises sous vide avec des DLC de deux semaines à un mois. Chaque sachet, estampillé d’un QR code, est ensuite stocké avant d’être dispatché au quotidien dans nos établissements. En quoi est-ce un plus pour vos futurs franchisés ? N.K : En général, on constate que plus un réseau se développe, plus l’enseigne simplifie ses recettes. Or, nous ne souhaitons pas faire de compromis sur la qualité. La cuisine asiatique demande beaucoup de savoir-faire et de temps de préparation, c’est incompressible. En centralisant la réalisation des recettes, nous garantissons une qualité optimale des plats à nos franchisés. On simplifie donc de fait la gestion opérationnelle de leur site. Cette organisation leur permet également de mieux maîtriser leurs coûts. Enfin, cela facilite le recrutement de leur personnel car la qualification de ce dernier n’a pas besoin d’être aussi élevée que s’ils devaient cuisiner tous les plats de A à Z. Des profils d’aides cuisiniers et commis sont parfaitement appropriés. Comme dans les chaînes de fast food, ces jobs peuvent tout à fait convenir à des étudiants. Quel profil de franchisés recherchez-vous ? N.K : Nous sommes un jeune groupe, donc les candidats à la franchise doivent soit avoir une expérience dans la restauration ou comme franchisé, voire multi franchisé. Pour lancer un établissement Street Bangkok, il faut compter huit salariés au minimum dès le départ. Quatre par service : deux personnes en cuisine, une en salle et un manager. Les futurs franchisés suivront une formation initiale sur l’hygiène, la gestion des commandes, les outils digitaux, le management… Pour apprendre les bases de nos produits et recettes et l’hygiène, les cuisiniers de nos succursales et donc bientôt de nos franchisés, passeront quatre jours par notre centre culinaire de formation doté des mêmes équipements que dans nos restaurants. Quel investissement doivent-ils prévoir pour rejoindre le réseau Street Bangkok ? N.K : Hors fonds de commerce, il faut compter entre 250 000 et 400 000 euros en fonction de l’état et de la taille du local (ndlr : mini 120 m2). Même si nous sommes davantage sur une cuisine d’assemblage et d’envoi que de production, le matériel de cuisson et de cuisine doit être de qualité. Les droits d’entrée s’élèvent à 35 000 euros, et la redevance à 6% du chiffre d’affaires et 1% pour la communication. »
Les avantages à nous rejoindre
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Chiffres clés
Des données concrètes pour mieux se projeter. Découvrez les indicateurs essentiels de notre réseau. Autant d’éléments qui témoignent de la solidité et de la clarté de notre modèle de franchise.
Nombre de
points de vente
Superficie
minimale
Type
d’emplacement
Durée
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Découvrez les concepts
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